Enfant, j'étais comme amoureux de "Sarita". Cette chanson est gravée en moi à jamais. On l'entend, dans une version instrumentale remaniée par Chaplin lui-même, dans un film immortel, Les lumières de la ville / City Lights (1931) :
Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux "sociaux" où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires "ronchons" ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !
...deux petits chaussons de satin blanc , sur le cœur d'un clown, dansaient gaiement!
RépondreSupprimerJoseph : ?
RépondreSupprimerc'est la version française d'un film de Charlot qui a charmé mon enfance... désolé d'être né trop tôt
RépondreSupprimerPardon, Joseph : je ne voyais pas le rapport avec La Violetera ; ni avec City Lights.
RépondreSupprimer