vendredi 30 octobre 2015

Radeautage

Théodore Géricault : Le radeau de la méduse (1818/1819) - Musée du Louvre, Paris
On l'a certainement beaucoup vu.
Je ne m'en lasse pas.

3 commentaires:

  1. Un visionnaire , et si on rêvait d' emboucher les trompettes de Jéricho et abattre les murs frontaliers ...

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  2. je m'en lasse bien, me rappellent scenes de tous les jours dans la mer de sicile lors des disperates recherchent une terre et une paix que ont perdu dans le medio-orient; c'est un teme du jour que l'Europe oublie souvent.
    Catania

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  3. Idem. Théo Géricault est un grand peintre - moins considéré qu'il le mérite. Dommage que l'emploi désastreux d'un vernis bitumeux obscurcisse tout. Même constat pour des œuvres de son ami Delacroix.

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