Le choc avait été très rude. Les tribuns Et les centurions, ralliant les cohortes, Humaient encor, dans l'air où vibraient leurs voix fortes, La chaleur du carnage et ses âcres parfums.
D'un oeil morne, comptants leurs compagnons défunts, Les soldats regardaient, comme des feuilles mortes, Tourbillonner au loin les archers des Phraortes, Et la sueur coulait de leurs visages bruns.
Un brin décalé là encore, mais c'est ce qui m'est immédiatement venu à l'esprit en découvrant cette photo : soir de bataille, ou, plus exactement, après la bataille.
Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux "sociaux" où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires "ronchons" ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !
C'est effectivement un brin décalé, voire un peu confus. Mais il finira bien par aller à l'essentiel.
RépondreSupprimerOui, Celeos, il n'arpente pas les sentiers battus et rebattus de l'iconographie "gay" ; et ça, c'est déjà beaucoup.
RépondreSupprimerLe choc avait été très rude. Les tribuns
RépondreSupprimerEt les centurions, ralliant les cohortes,
Humaient encor, dans l'air où vibraient leurs voix fortes,
La chaleur du carnage et ses âcres parfums.
D'un oeil morne, comptants leurs compagnons défunts,
Les soldats regardaient, comme des feuilles mortes,
Tourbillonner au loin les archers des Phraortes,
Et la sueur coulait de leurs visages bruns.
Un brin décalé là encore, mais c'est ce qui m'est immédiatement venu à l'esprit en découvrant cette photo : soir de bataille, ou, plus exactement, après la bataille.