En 2016,
grande nouvelle,
les barbes (de 3 jours ou de 3 mois, bien taillées, en broussailles, ou de celles, récentes, qui assimilent un visage à un fromage au poivre), c'est fini !
On assistera à un retour en grâce des peaux lisses, rasées de frais, fleurant bon un discret parfum d'après-rasage.
En 2016, on ne se cache plus !
Etant imberbe, j'approuve !
RépondreSupprimerAntonin
chiche ?
RépondreSupprimerTututututut... je désapprouve évidemment le contenu de ce billet. La barbe fait l'homme, même si l'homme n'est heureusement pas réductible à sa barbe.
RépondreSupprimer2016 sera au contraire l'année où les barbus commenceront à prendre réellement soin de leur attribut pileux. La floraison des barbiers ça et là et l'offre de prix compétitifs est un appel du pied fort bien venu à une nouvelle clientèle tout autant qu'elle est la marque de la renaissance d'un métier en voie d'extinction.
Et que les imberbes se rassurent : les barbus n'ont le monopole ni de la virilité ni du charme...
Tambour Major : votre dernière phrase vous vaut l'absolution. Mais les imberbes, ou plutôt les sans-barbe se font de plus en plus rares.
RépondreSupprimerMoi, je suis comme le PÈRE NOËL : je veux garder ma grande barbe poivre et sel ! Na !
RépondreSupprimerPour les petits... comme pour les grands garçons !!!