mercredi 6 janvier 2016


J'ai trouvé cette photo au fil de mes déambulations quotidiennes sur le toile, où je glane les images destinées à illustrer ce journal.
Ce pourrait être vous trois, chez moi, quand s'ouvrent, deux à trois fois l'an, guère plus, deux parenthèses dans vos existences de jeunes loups et que je peux enfin vous réunir, bonheur très rare, jouissif.
La seule différence, c'est que je vous trouve bien plus beaux.

4 commentaires:

  1. Le hasard semble bien faire les choses: une meute se forme parfois d'elle même pour hurler ensemble certains soirs d'hiver, à des occasions bien particulières.

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  2. Ah ah, je suppute une complicité Silvano-Sapere !

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