mercredi 24 février 2016

Travailler au Vatican, quel bonheur !

Le chapelain des gardes-suisses en belle compagnie. Soupirs...
Mécréant de la pire espèce, je ne peux m'empêcher de nourrir quelques regrets quant aux perspectives d'avenir qu'aurait pu me permettre d'espérer l'éducation religieuse que l'on m'imposa lors de mon enfance : je fus même enfant de chœur ; le seul plaisir que j'éprouvais au service de la messe était son aspect théâtral (avec accent circonflexe, je persiste et signe !) qui, sans doute, eut quelque influence sur ma carrière future.
Songez que j'aurais pu devenir prêtre et, non dépourvu d'ambition, aurais visé une carrière dans les plus hautes instances vaticanesques. Pas Pape, non, il y a trop de contraintes, de soucis de tous ordres (ne vient-on pas d'apprendre la mort mystérieuse d'une collaboratrice du souverain pontife enceinte de sept mois ?!), de voyages incessants avec jet-lags perpétuels, et j'en passe.
En revanche, chapelain des gardes-suisses m'aurait tout à fait convenu.
Le dernier en date (photo) a bien de la chance, ne trouvez-vous pas ?




2 commentaires:

  1. Prince de l' Eglise ! Une nouvelle image d' Épinal sur le parcours d'un enfant de chœur.

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  2. Certes, mais c'est un poste très convoité...

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