Umberto Eco a quitté cette planète vendredi dernier 19 février 2016.
J'ai lu et vu au cinéma Le nom de la rose comme des millions de gens.
Sur ordonnance de Bernard Pivot qui accueillit maintes fois le grand écrivain, je m'étais régalé des chroniques regroupées sous le titre Comment voyager avec un saumon où il nous parlait, entre autres, de sa ville natale, Alessandria (Alexandrie), qui n'est pas en Égypte, mais, homonyme, se trouve dans la région du Piémont.
Eco était un éminent francophile, qui parlait notre langue infiniment mieux que beaucoup de nos compatriotes.
C'est l'un des grands hommes de notre temps que j'aurais aimé rencontrer.
Encore une disparition qui laissera inconsolée une partie de mon être.
Il y a des réveils difficiles, surtout le lundi matin, mais pourriez-vous enlever le 2° "c" de vos "Ecco"? Le sémioticien qu'était le grand Umberto y aurait peut-être perdu son latin.
RépondreSupprimer"Ecco", c'est fait, Palomar !
RépondreSupprimerFaute récurrente chez moi, tout à fait impardonnable.
Merci de m'avoir... réveillé.
Grand homme et bel esprit rieur et pédagogue qu'Umberto Eco... L'incarnation XXe siècle de ce que le grand siècle appelait un Honnête Homme.
RépondreSupprimerJe comprends aussi que vous regrettiez la présence d'Hervé Claude à la télé, mais tel que vous le dites, on pourrait penser qu'il est mort.
On peut le lire aussi, dans ses polars, à défaut de le voir dans le poste.
Bien à vous, cher Silvano.
-Cornelis-
Ah, ces débuts de semaine ! Vous avez raison,cher Cornelis : j'ai reformulé.
RépondreSupprimerOn ne se relit jamais assez.
Ah le coup du saumon dans le tiroir de la commode et les bouteilles du réfrigérateur ! Du grandiose sur quelques pages...
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