oui ! j'avais une vieille tendresse pour Bösendorfer. puis, un jour, j'ai pu travailler une sonate de Mozart sur un Steinway. un enchantement pour l'amoureux que je suis : effleurer le clavier et le son jaillit fabuleusement... jouer l'andante de la 960 de Schubert me procure un bonheur ineffable. vive Steinway et ses fils !
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oui !
RépondreSupprimerj'avais une vieille tendresse pour Bösendorfer. puis, un jour, j'ai pu travailler une sonate de Mozart sur un Steinway.
un enchantement pour l'amoureux que je suis : effleurer le clavier et le son jaillit fabuleusement...
jouer l'andante de la 960 de Schubert me procure un bonheur ineffable. vive Steinway et ses fils !