lundi 28 mars 2016

Laurel et Hardy, "couple" immortel


Il est intéressant (et follement amusant) de revoir leurs films. En émane une ambiguïté sur laquelle les exégètes ont beaucoup disserté : le duo de copains partage le même lit, pouponne en préfiguration des couples de même sexe d'aujourd'hui, et entretient avec la gent féminine des relations pour le moins compliquées.
Quoi qu'il en soit, le tandem a laissé une somme de courts et longs métrages qu'on revoit avec un plaisir sans cesse renouvelé.
On sait que, jetée sans ménagement pas les "Majors", notre inénarrable paire d'amis a connu une fin misérable. Depuis, l'histoire du cinéma leur a rendu justice.





4 commentaires:

  1. je garde un souvenir ému de leur" Fra Diavolo" et le jeu nono nanette!

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  2. Géantissimes. Monumentaux. Les livreurs de piano est un chef-d'oeuvre (la destruction par le menu de l'appartement est un grand moment de cinéma).

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  3. (Je ne sais pas si vous avez vu récemment sur mon blog la vidéo "Twice Two" (littéralement "deux fois deux") ou chacun des deux compères interprète l'épouse de l'autre...)

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  4. Oui, another..., je l'avais vue. Et d'accord pour les deux qualificatifs du premier commentaire !

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