jeudi 28 avril 2016

Say or not say

Duane Michals, un Hamlet aux petits oignons
C'est extrêmement irritant d'entendre Augustin Trapenard, en charge d'un page culturelle du service public de radiodiffusion, dire "on commémore le quatre centième anniversaire de la mort de William Shakespeare".
Augustin, dites-nous, dans ce cas, quand a eu lieu ce quatre centième anniversaire !
Cette faute est, hélas, commise, par nombre de ses confrères auxquels il convient de signaler l'existence des verbes célébrer et fêter (selon le cas).
De même, Yann Barthès, avec lequel on sera toutefois plus indulgent (émission mêlant actualités et humour), n'hésitait pas, l'autre soir à nous informer qu'Obama s'était livré à divers "serrages" de mains.
De là à déduire, Yann, qu'il vous manque un boulon...

3 commentaires:

  1. Rappelez-nous Silvano, que faut-il dire ou ne pas dire déjà pour les anniversaires? :-)
    Quant Yann, je serai aussi indulgent, il y a des mains qu'il faut serrer comme des boulons !

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  2. Voudriez-vous dire, estèf, que je radote ?
    Vous prouvez, toutefois, que vous êtes un lecteur très attentif ;)
    Je vous serre la main.

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  3. Pour les anniversaires, Estèf, c'est "un petit beurre, des touyous". Sinon lâche-toi, dis ce que tu veux, tu as le droit maintenant !

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