Je pourrais partager cette image, mais sans le texte, n'en partageant pas l'esprit. Se faire des ennemis (ou les braquer un peu plus) n'est pas très productif ! pour faire évoluer les mentalités. Je crois plus à la force de l'habitude, comme l'a si bien dit le grand René Char : « Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. À te regarder, ils s’habitueront. »
C'est valable pour toutes formes de discrimination. La séparation conduit à la ghettoïsation, de soi ou de l'autre. Je la refuse, toujours, partout, qu'elle soit volontaire ou subie. Chacun se dit être "du bon côté de la barrière" ! or dès qu'il y a une barrière, les deux côtés sont mauvais.
Il importe donc de plutôt se montrer, tels que, sans cacher ce que l'on est – dont je n'ai pour ma part pas plus de fierté que de honte – ni rejet de qui nous rejette. Face à l'escalade des grandiloquences partisanes (de tous poils), je crois à la force de la simplicité.
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Je pourrais partager cette image, mais sans le texte, n'en partageant pas l'esprit. Se faire des ennemis (ou les braquer un peu plus) n'est pas très productif ! pour faire évoluer les mentalités. Je crois plus à la force de l'habitude, comme l'a si bien dit le grand René Char :
RépondreSupprimer« Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. À te regarder, ils s’habitueront. »
C'est valable pour toutes formes de discrimination. La séparation conduit à la ghettoïsation, de soi ou de l'autre. Je la refuse, toujours, partout, qu'elle soit volontaire ou subie. Chacun se dit être "du bon côté de la barrière" ! or dès qu'il y a une barrière, les deux côtés sont mauvais.
Il importe donc de plutôt se montrer, tels que, sans cacher ce que l'on est – dont je n'ai pour ma part pas plus de fierté que de honte – ni rejet de qui nous rejette. Face à l'escalade des grandiloquences partisanes (de tous poils), je crois à la force de la simplicité.