mardi 16 août 2016

Christique... ou pas


Ce garçon m'évoque l'acteur (Jeffrey Hunter) qui jouait Jésus Christ dans Le roi des rois de Nicholas Ray (1961), film qui, malgré le talent du cinéaste, n'échappait pas à la vision hollywoodienne imprimée par le calamiteux Cecil B. De Mille des débuts du parlant aux années 70.
On est en droit de lui préférer la vision de Pasolini (L'évangile selon St Matthieu - 1964) .

Mais je m'égare : christique, le regard ? Ou dénotant que l'ange est prêt à tous les abandons ?

9 commentaires:

  1. L'angélisme est une longue quête...

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  2. Cet ange est diablement beau.

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  3. Cécil B de Mille calamiteux ? Soit vous ne connaissez pas l’œuvre complète du cinéaste et c'est péché d'ignorance, soit vous vous permettez, comme il est de mise de nos jour de juger d'un mot la longue carrière d'un cinéaste majeur du siècle dernier, par anticléricalisme primaire .

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  4. " par anticléricalisme primaire" : je ne savais pas que Cbdm était un ecclésiastique.
    :)
    Pardon de vous avoir froissé, mais il y a quand même pas mal de navets dans sa filmographie.
    Ce "Roi des rois" de Nicholas Ray est bien meilleur que la version de De Mille : il y a une dimension "politique" que l'on ne trouve pas dans les films de De Mille, trop "révérencieux", usant d'une imagerie quelque peu naïve. Mais j'adore les péplums, hein !?

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  5. Hot boy.

    Il est temps de revoir CbdM à la baisse. Cecil B. De 750, en notant large ?

    @ Peplum : Cecil Blount DeMille (Cecil B. DeMille. Merci de ne pas franciser.)

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  6. Une affaire de goût. Sinon, je ne publierai les commentaires éventuels que le mardi 23 août. Je suis parti.

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  7. Buon viaggio e buon soggiorno a Roma! :)

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  8. Le but des religions est de rendre malade.
    Les religions : Un ramassis d’imbécilités.
    Pourquoi faut il rappeler que les vierges n’enfantent pas !
    Toute cette pensée magique perturbe l’esprit et l’empêche de chercher à COMPRENDRE.
    Évidemment, Croire est beaucoup moins fatiguant que comprendre.
    Merci à Démocrite de montrer que dans un univers composé d’atomes, il ne reste aucun espace pour des dieux.
    Merci à Bruno Bauer d’avoir montré que l’agitateur politique crucifié n’avait rien de divin.
    Merci à Karl Abraham pour son analyse de l’origine du monothéisme.
    Merci à S. Freud pour son démontage de l’illusion mécanique du sacrifice.
    Merci à Jacques Monod de remettre la connaissance au centre de l’humaine démarche.
    Roger

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