" La mélancolie, c'est un désespoir qui n'a pas les moyens. "
(Léo Ferré)
PIERRE ANDRIEU - AFP |
Ce 24 août était celui du centième anniversaire de sa naissance.
Encore tout gamin, j'eus le privilège de partager un repas avec lui à Peille, au dessus de Menton.
Connaissant ses colères et ses indignations, je fus surpris de la bonté qui émanait de lui, qui volait littéralement au-dessus de l'assemblée.
Je le vis comme un patriarche, le grand-père que j'aurais aimé avoir.
Je le vis comme un patriarche, le grand-père que j'aurais aimé avoir.
Lisez la partition de :
RépondreSupprimerAvec le Temps. Difficile de faire plus basique.
Puis écoutez ce qu'il arrive à en faire quand il chante : Avec le Temps.
C'est cela l'Art.
Roger
Quelle chance avez-vous eu de rencontrer le grand Léo Silvano.
RépondreSupprimerUne pensée pour lui.
Pour ma part, votre billet rappelle à mon souvenir des soirées inoubliables passées avec André l'un de ses producteurs, soirées passées à se lancer des tirades extraites de textes de Léo, ceci jusqu'à la fermeture du "Café du Commerce" à Senlis, jusqu'à la fermeture.
Bon souvenir, merci à vous, à André et à Léo
Allez ma tirade préférée:
RépondreSupprimer"Je suis un nègre blanc qui mange du cirage, parce qu'il se fait chier à être blanc ce nègre"...
Je le voyais à la fin de certains étés avec Madeleine, quand il allaient passer quelques temps au Fort du Guesclin à St Coulomb, entouré par la mer.Un jour je l'ai croisé sur la plage main dans la main avec Pépée.
RépondreSupprimerMon grand père le conduisait à la pêche.
Tout ça ne me rajeuni pas mais quels beaux souvenirs..........