samedi 27 août 2016

La mélancolie

" La mélancolie, c'est un désespoir qui n'a pas les moyens. "
(Léo Ferré) 

PIERRE ANDRIEU - AFP





Ce 24 août était celui du centième anniversaire de sa naissance.
Encore tout gamin, j'eus le privilège de partager un repas avec lui à Peille, au dessus de Menton.
Connaissant ses colères et ses indignations, je fus surpris de la bonté qui émanait de lui, qui volait littéralement au-dessus de l'assemblée.
Je le vis comme un patriarche, le grand-père que j'aurais aimé avoir.  

4 commentaires:

  1. Lisez la partition de :
    Avec le Temps. Difficile de faire plus basique.
    Puis écoutez ce qu'il arrive à en faire quand il chante : Avec le Temps.
    C'est cela l'Art.
    Roger

    RépondreSupprimer
  2. Quelle chance avez-vous eu de rencontrer le grand Léo Silvano.
    Une pensée pour lui.
    Pour ma part, votre billet rappelle à mon souvenir des soirées inoubliables passées avec André l'un de ses producteurs, soirées passées à se lancer des tirades extraites de textes de Léo, ceci jusqu'à la fermeture du "Café du Commerce" à Senlis, jusqu'à la fermeture.
    Bon souvenir, merci à vous, à André et à Léo

    RépondreSupprimer
  3. Allez ma tirade préférée:
    "Je suis un nègre blanc qui mange du cirage, parce qu'il se fait chier à être blanc ce nègre"...

    RépondreSupprimer
  4. Je le voyais à la fin de certains étés avec Madeleine, quand il allaient passer quelques temps au Fort du Guesclin à St Coulomb, entouré par la mer.Un jour je l'ai croisé sur la plage main dans la main avec Pépée.
    Mon grand père le conduisait à la pêche.
    Tout ça ne me rajeuni pas mais quels beaux souvenirs..........

    RépondreSupprimer

Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux "sociaux" où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires "ronchons" ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !