
Je pleure aujourd'hui, car je sais que je ne verrai jamais ce jour.
Silvano-Août 2016
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Très belle prose Silvano, un nouveau roman en perspective?
RépondreSupprimerLe combat continue...
RépondreSupprimerEric D. : inspiration du jour, mais l'intégrer au volume 2, pourquoi pas ?
RépondreSupprimer...et pourtant j'ai rencontré des demoiselles - dames se bécotant gentiment dans des lieux publics (des arrêts de bus et grandes surfaces) : de la discrimination positive?
RépondreSupprimerJ'ais bien aimé votre livre Sylavano....lirons nous la suite de cet adolescent dans sa vie d'homme ?
RépondreSupprimerMerci pour votre écriture et merci pour le contenus de votre site.
Christian.
@Joseph : ce n'est pas pareil, ça excite les hétéros.
RépondreSupprimer@Christian : merci beaucoup. Oui, il y aura sans doute une suite ; j'y travaille. Mais il faut laisser le premier vivre sa vie d'abord : nous n'en sommes qu'au début (publié le 29 juin).
"Bien sûr, il y a les guerres d'Irlande
RépondreSupprimerEt les peuplades sans musique
Bien sûr tout ce manque de tendre...
mais voir un ami pleurer...
Et tous ces hommes qui sont nos frères
Tellement qu'on est plus étonné
Que par amour ils nous lacèrent
Mais voir un ami pleurer..."
Voilà où m'a emmenée votre dernière phrase.
Marie
Une très belle référence. Et un honneur, Marie.
RépondreSupprimerEn rentrant d'escapade, je trouve ce beau texte. Merci pour ce cadeau.
RépondreSupprimerTandis que deux hommes qui s'enlacent rendent les femmes d'hétéros jalouses ,sans doute, par manque de gestes tendres ?
RépondreSupprimerNon, Joseph : deux hommes qui s'enlacent suscitent de la haine chez d'autres hommes. Les femmes homophobes, c'est beaucoup plus rare.
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