Deux gravures de Takato Yamamoto, qui excelle, par ailleurs, dans l'art "morbide".
Son Saint Sébastien, ci-dessous, modernise le mythe tout en le respectant.
Le martyr criblé de flèches va bien finir par mourir un jour...
vendredi 18 novembre 2016
Chez Yamamoto, pas de ratés*
2 commentaires:
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Avez vous l'intention ,Silvano,de publier des gravures du non moins célèbre Kékassé ?
RépondreSupprimerNon, Paul : en revanche, j'étudie l’œuvre de Okaraté Takaréataké.
RépondreSupprimer;)