à quel point
c'est désuet :
mis à part les
plus âgés des lecteurs
de ce journal numérique,
qui sait de quoi il s'agit ?
Ayant vécu une préhistoire
où l'on nous interdisait d'utiliser
des stylos-à-bille (au Maroc en tout cas),
j'ai encore en moi l'odeur de l'encre violette
et de la colle en pot qui fleurait bon l'amande douce.
Mais je vous perturbe, et ne voudrais pas vous priver de l'intense émotion que ne manquera pas de provoquer l'image ci-dessus, dont j'aimerais bien qu'elle fût prise chez moi.
Mais non.
Adore calligraphie ;-)
RépondreSupprimerAh vos ordres, sergent-major !
RépondreSupprimeret l'honneur de remplir les encriers le matin ...
RépondreSupprimerCher Silvano,
RépondreSupprimerJe suis heureux d'apprendre que nous partageons les mêmes souvenirs d'enfance... Dans l'école libre bretonne où j’ânonnais mes tables et suais sur mon bled, la colle fleurait l'amande à s'enivrer - premiers et derniers shoots de ma vie... - et le stylo plume était seul autorisé. D'ailleurs, j'ai gardé de ces travaux d'écriture une graphie très dix-neuvième siècle, ce qui me rend pas peu fier.
Sans doute sommes-nés dans les mêmes parages, spatiaux et temporels.
Bien à vous,
Gaultier.
PS : Je suis né en 1984...
Je suis né quelque peu avant vous, Gaultier, même si le temps n'a, pour l'instant, pas fait trop de ravages.
RépondreSupprimerPar contre, mon écriture, elle...