Libération, qui a été ce qu'il fut, a, parfois, encore, mais peu souvent, quelques belles idées. La couverture de son édition du 10 novembre dernier en est le plus bel exemple.
La référence à l'immense roman de Bret Easton Ellis, dans lequel Trump se trouve être l'idole du psychopathe Patrick Bateman est judicieuse.
Ce geste très christique est récurrent chez Donald Trump, et c'est inquiétant.
RépondreSupprimerC'est également un geste récurrent dans les vidéos de propagande diffusées par l'Etat islamique, comme s'il établissait l'existence d'une connexion divine et la légitimité de l'action du djihadiste.
Il est aussi présent dans bon nombre de peintures religieuses du Quattrocento (pour ne citer qu'elles). Bonne couverture de Libé, en effet.