Je ne sais plus si j'ai déjà inséré ici cette version Richter/Sanderling du Concerto préféré de Radio Classique qui le passe au moins une fois par jour, dans d'autres interprétations (ça c'est de l'imagination !).
C'est littéralement envoûtant, avec des premières mesures qui contiennent un crescendo savamment dosé, et un deuxième mouvement (si souvent entendu, pourtant) à pleurer de bonheur.
Le géant russe reste l'un des plus grands virtuoses de l'histoire du piano.
Ici, malgré la prise de son de l'époque même ripolinée, c'est éclatant !
Bon concert du dimanche !
Merci d'avoir accompagné de si magistrale manière notre grasse-matinée dominicale.
RépondreSupprimerJules
Suis - je inculte si , quel que soit l'interprête , je suis plus sensible aux accents du troisième concerto ?
RépondreSupprimerMonumental, merci.
RépondreSupprimerjoseph, oui, mais le 2 est plus fastoche. La dernière fois que j'ai joué le 3 au Carnegie Hall, je me suis cassé deux ongles.
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