mercredi 1 février 2017

Schubert vous va si bien , Madame


Deux acteurs bouleversants dans un film inoubliable

Après le départ d'Emmanuelle Riva, je me souviens de l'émotion qui m'a étreint lors de la projection d'Amour, le grand et beau film de Michael Haneke.
Je me souviens aussi de ma première vision d'Hiroshima mon amour,  un soir d'hiver, dans une salle de cinéma dont le chauffage était tombé en panne. L'atmosphère glaciale, la tonalité du film, si différent de ce que j'allais voir à l'époque (je devais avoir 16 ou 17 ans), on fait que j'ai détesté et que, longtemps, pour briller, je me moquai, me livrant à des imitations caricaturales du jeu des deux acteurs principaux. Je l'ai revu, depuis. Il est trop tard, à présent, pour demander pardon.

2 commentaires:

  1. Dieu que j'aime ce journal virtuel, ses anges, ses "joues", sa musique, ses indignations, son élégance, sa sincérité !
    Si "Amour" m'a beaucoup touché, "Hiroshima", par contre...
    Jules, qui vient (enfin) d'acquérir votre roman.

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  2. Jules, je suis aussi pourpre que les fauteuils de mon salon, merci beaucoup.

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