À Vérone, le ouifi gratuit est partout.
Las, j'ai laissé à Paris le petit carnet où je note les adresses des ami(e)s, mais aussi mes mots de passe !
C'est la raison pour laquelle j'ai dû attendre mon retour, hier soir, pour publier vos commentaires.
Pour me faire pardonner, cette photo, presque réussie, d'un beau garçon lisant au bord du Lac de Garde :
Toujours aux aguets, Silvano !
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