J'aime les cloîtres. Pas jusqu'à revêtir une robe de bure, mais j'aime. |
L'église San Francesco de Bolzano est hautement dispensable.
En revanche, le cloître attenant vaut le détour.
J'ai beaucoup apprécié cette fresque bien conservée, que je qualifierais de "pagano-catho".
Ça n'engage que moi.
Un délire : ne manquent que des joueurs de belote sous les suppliciés. Pardon aux ecclésiastiques qui me lisent ! |
Je partage votre attirance pour les cloitres mais je confesse que la mienne est un peu entachée de fantasmes évoquant ce qui peut se passer dans les cellules de jeunes moinillons n’ayant pas encore fait vœu de chasteté (ou l’ayant rompu sous l’empire du Malin). Me donnerez-vous l’absolution pour cette pensée bien peu dominicale ?
RépondreSupprimerAllez en paix, frère Ludovic : ce n'est pas moi qui vous jetterai la première pierre, car...
RépondreSupprimerCoquins !
RépondreSupprimerIl est peut être un peu excessif de parler de scène païennes. Mais ce mélange picaresque est des plus amusant. Surtout que l'acteur principal a été un peu occulté ...
RépondreSupprimerIl est vrais que le côté droit est assez peu attentif, ça papote, ça jacasse ... Est-ce une impression, ou bien les deux figures du bas à droite font les poches de ceux du haut ?
Les grands retables regorgent également de ces scènes contrastées tant l'enfer et le paradis sont pavés des mêmes intentations!
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