Foin des velléités romanesques : je vais écrire un ouvrage pour m'enrichir. J'ai déjà le titre : Essaie de vivre ta vie parce que tu n'en as qu'une et que tu
regretterais de ne pas l'avoir vécue si tu venais un jour à mourir.
Excellent titre, Silvano, précis, concis...vous pourriez même laisser blanches les pages du livre et ainsi ,vos lecteurs libres et en paix de ceux qu'ils veulent être. Je ne serais, cependant, pas de vos lectrices, je préfère la force créatrice des romans mais à n'en pas douter, vous feriez fortune. Bon dimanche. Marie
...une fin de phrase qui entraina une larme du professeur , capitaine, oh, capitaine , d'un cercle disparu! mais un poète belge eut cette phrase un soir de conversation à batons rompus sur une chaîne TV et je transcris son propos en exergue d'une page blanche...surréaliste, non?
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Très belle photo avec un modèle qui me paraît des plus charmants !
RépondreSupprimerBive, vous avez tout de suite saisi quelle était la teneur de ce billet : ça fait plaisir !
RépondreSupprimerExcellent titre, Silvano, précis, concis...vous pourriez même laisser blanches les pages du livre et ainsi ,vos lecteurs libres et en paix de ceux qu'ils veulent être.
RépondreSupprimerJe ne serais, cependant, pas de vos lectrices, je préfère la force créatrice des romans mais à n'en pas douter, vous feriez fortune.
Bon dimanche.
Marie
...une fin de phrase qui entraina une larme du professeur , capitaine, oh, capitaine , d'un cercle disparu! mais un poète belge eut cette phrase un soir de conversation à batons rompus sur une chaîne TV et je transcris son propos en exergue d'une page blanche...surréaliste, non?
RépondreSupprimerJ'ai oublié de citer l'auteur dramaturge : Hugo CLAUS et sa citation, la vraie poésie minimaliste serait de ne rien écrire!
RépondreSupprimerOh oui, faites-le et laissez toutes les pages blanches !
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