- On en descend encore un ou deux, et on file à l'hôtel, OK ? |
On sait ce que vécurent les homos sous le troisième Reich, même si l'on peut penser qu'il y eut, dans la France occupée, des relations interdites entre des pédés Français et leurs "homo"logues allemands.
Le film (plutôt mauvais, il faut le dire) Bras de fer de Gérard Vergez (1985) avec Bernard Giraudeau et Matthieu Carrière évoquait un peu lourdement le sujet*.
Mais qu'en est-il des rapports entre Français et Américains libérateurs ?
Cette photo fait s'emballer mon imagination toujours en alerte : supputons, pour le plaisir, que ce résistant et le boy vont connaître une aventure torride après avoir occis quelques boches.
Le repos du guerrier, quoi !
* Ne m'en demandez pas plus : je n'ai gardé, de ce film, que le vague souvenir que l'Allemand joué par Matthieu Carrière est homosexuel.
Quel acteur !
Dans « le chagrin et la pitié », film documentaire de Marcel Ophüls sur la vie sous l'occupation autour de Clermont-Ferrand et de Chateldon, on voit une grande tante... une des miennes, enfin une cousine de ma grand-mère si je ne me trompe pas, mais on dit tante pour toutes les parentes d'un rang supérieur au sien...
RépondreSupprimerMais beaucoup plus intéressant, et de moins mauvais goût (très, très mauvais, je vous l'accorde) on y voit un britannique appartenant à l'intelligence service qui avait été envoyé en mission à Clermont et qui était tombé amoureux, d'un amour partagé, d'un soldat allemand. Ce soldat avait été envoyé sur le front de l'Est où il y était mort. 40 ans plus tard, ou à peu près, le britannique avait toujours sur sa commode la petite photo en uniforme, de cet amant à jamais jeune et encore aimé.
Franck
Intéressant, Franck, car je ne me souviens pas de ce passage du film. Il s'avère que je le possède et vous me donnez l'occasion de le revoir.
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