dimanche 22 octobre 2017

Cadeau : ne pas aimer Brahms est indigne d'un être civilisé



Brahms par Jacqueline du Pré (violoncelle) et Daniel Barenboim (piano), c'est parfait pour un dimanche matin d'automne. Pour un après-midi ou pour la soirée aussi.

2 commentaires:

  1. Merci pour ce si beau cadeau, parfait pour le matin, l'après-midi et le soir.
    Merveilleux interprètes.
    Avec sa célèbre interrogation, Dame Sagan a fait preuve d'intuition à une époque où Brahms était moins reconnu qu'aujourd'hui dans l'aire latine.
    Petite question (j'ai l'écoute imagée des amateurs) que je me pose depuis des années : qui le premier a associé nombre d'œuvres de Brahms et la lumière d'automne ? L'intuition me semble si harmonieuse. Et qu'on n'invoque pas une fois de plus les "brumes du Nord". A Hambourg, ce musicien besognait dans des établissements où on ne s'ennuyait pas.

    Pipo, comme Maman disait.

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  2. "Cette mélancolie brahmsienne est née d'une sorte de complexe d'inferiorité issu des années de jeunesse que Brahms a passées à jouer dans les tavernes de Hambourg." Claude Rostand "Johannes Brahms" Fayard 1978.

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