samedi 4 novembre 2017

À Tilos (Grèce), une lueur d'espoir

Photo prise à Samos le 21 octobre par Louisa Goulamaki | AFP
Les pays où l'extrême-droite populiste gagne chaque jour du terrain sont ceux qui n'accueillent pas de "migrants" sur leur territoire.
En cette époque pornographique, il y a, de temps à autre, une information qui nous parvient, qui permet de retrouver un peu d'optimisme quant aux relations entre les humains.
Il se trouve par ailleurs quelques voix pour faire entendre que les migrations peuvent être une source d'échanges fructueux entre les peuples.
Ce sont les populations les plus touchées par les crises qui, pour l'heure, accueillent le mieux les réfugiés.
Sur l'île de Tilos, en mer Égée, les bras s'ouvrent à eux, les habitants hébergeant dix familles syriennes, conscients que leur présence porte un espoir de renouveau pour leur île abandonnée des pouvoirs publics.
Reportage ici : clic




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