Quel immense souvenir, ce film hors du temps. Je l'avais découvert sans rien y comprendre, hypnotisé, somnambule, soudain bouleversé par l'intrusion d'images en surexposition. Un orgue joue une musique toujours lunaire. Merci, Silvano.
Le souvenir passe plutôt par un manuel à l'usage des classes terminales "La prose française" de Franz Weyergans dans lequel figure un extrait du scénario dialogues et indications du metteur-en-scène de ce film , entre quelques pépites de Anouilh à Voltaire via Cocteau, Mauriac et Teilhard de chardin ( P S mes humanités scientifiques , je les ai passées dans un collège - anct petit Séminaire , internat pour garçons et jeunes gens dans un coin perdu des Fagnes belges)
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Quel immense souvenir, ce film hors du temps.
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Un orgue joue une musique toujours lunaire.
Merci, Silvano.
Le souvenir passe plutôt par un manuel à l'usage des classes terminales "La prose française" de Franz Weyergans dans lequel figure un extrait du scénario dialogues et indications du metteur-en-scène de ce film , entre quelques pépites de Anouilh à Voltaire via Cocteau, Mauriac et Teilhard de chardin
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