vendredi 3 novembre 2017
Cadeau : deux monstres sacrés
Il est des disparitions dont on ne se remet jamais.
Celle de Claudio Abbado en janvier 2014 est de celles-là.
Je n'ai pas la date de ce concert à Lucerne, où l'on constate
les ravages de la maladie sur le Maître.
Depuis, Alfred Brendel, immense pianiste, s'est éloigné des salles
de concert. Que faire d'autre quand on a joué avec les plus grands ?
On remarquera l'implication des musiciens de l'orchestre, heureux de
servir un aussi grand chef et cet admirable soliste.
Et Beethoven.
2 commentaires:
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Ah Silvano, forse il Concerto per piano di Beethoven che amo di più (bella gara con il no. 4).
RépondreSupprimerE Abbado
E Brendel
splendido regalo agli amici della rete!
A presto
Un bacio
Paolo
Baci, Paolo !
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