Julius Schmid : Der Einsame Meister |
J'avais découvert Paul Lewis en 2007 à La Fenice de Venise dans un récital où Schubert tenait la plus grande part, mais il y avait aussi du Mozart et du Ligeti : les trois compositeurs étaient très habilement liés, se "fondaient" admirablement dans le programme.
Je m'étais amusé de voir de nombreux spectateurs photographier la prestigieuse enceinte récemment reconstruite à l'identique.
La mise en couleurs de la salle entièrement refaite doit beaucoup au visionnage, par les décorateurs, du Senso de Luchino Visconti.
Pour revenir à Beethoven et à Paul Lewis, je trouve admirable cette interprétation de ces pages géniales, douloureuses, mélancoliques, que l’œuvre de Schmid, tout là haut, illustre fort bien selon moi.
Belle interprétation sensible et équilibrée de cette merveilleuse sonate de mon illustre homonyme germanique (on n'ose plus dire autrichien)
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