Il n'est pas besoin d'apprendre à ce jeune gaucher comment tenir correctement l'archet. Sa photo suffit pour comprendre le sous-titre d'un classique aussi célèbre que réjouissant d'Abraham Moles, Psychologie du kitsch : l'art du bonheur. Il ne faut pas trop vite dédaigner le kitsch, car son confort nous est plus familier que nous le pensons ; désirable aussi, par exemple lors de l'offensive actuelle de l'hiver, quand on envie sans l'avouer le caleçon long que porte notre victorieux (non, il n'est pas plus danseur que violoniste). ... Mais j'ai toujours adoré le style rocaille. Sa fluidité m'enchante instantanément.
Cet ange a je ne sais quoi de cruel et son archet pourrait être une épée pour celui qui trop l'approcherait. Un amour-fauve ? Le choix de cette photographie était risqué mais je l'approuve...
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SI ! SI ! Bel intérieur ! Bel instrument (de musique !) ! Belle page (de musique !) et beau page (musicien !) !
RépondreSupprimerNous avons bon goût !
Peut-on le... goûter ???
:-)
FAITES DE DOUX RÊVES !
FRÉD'OOH !!!
Il n'est pas besoin d'apprendre à ce jeune gaucher comment tenir correctement l'archet. Sa photo suffit pour comprendre le sous-titre d'un classique aussi célèbre que réjouissant d'Abraham Moles, Psychologie du kitsch : l'art du bonheur.
RépondreSupprimerIl ne faut pas trop vite dédaigner le kitsch, car son confort nous est plus familier que nous le pensons ; désirable aussi, par exemple lors de l'offensive actuelle de l'hiver, quand on envie sans l'avouer le caleçon long que porte notre victorieux (non, il n'est pas plus danseur que violoniste).
... Mais j'ai toujours adoré le style rocaille. Sa fluidité m'enchante instantanément.
Il porte à droite. Je parle du violon bien sûr !
RépondreSupprimerCet ange a je ne sais quoi de cruel et son archet pourrait être une épée pour celui qui trop l'approcherait. Un amour-fauve ? Le choix de cette photographie était risqué mais je l'approuve...
RépondreSupprimerPierre