(9 mai 2018)
Si l'ogre (Google) a bien traduit, c'est un poème de Giórgos Chronás, mis en musique et chanté par Mános Hatzidákis.
Je ne comprends pas, mais je trouve cela très beau, de même que la chanson qui suit.
Si Celeos passe par ici, peut-être pourra-t-il nous donner quelques explications.
(18 mai 2018)
Celeos (Véhèmes) m'a effectivement fourni quelques explications.
Concernant la chanson ci-dessus :
Poème de Giórgos Chronás
Musique de Mános Hadzidákis
Interprété par Andréas Karakótas
Piano : Dora Bakopoúlou
Giórgos Chronás est né en 1948 au Pirée. Il est fondateur et éditeur du magazine littéraire Panos Street. Il a publié des poèmes et des pièces de théâtre, et est interprété par de nombreux chanteurs et chanteuses grecques. Politiquement, il est proche du parti To Potami/La Rivière qui se situe au centre, mais se démarque pour ses avancées sociétales, et notamment milite pour les droits LGBTQ.
Pour cette chanson, Celeos apporte l'éclairage suivant :
Poème de Dínos Christianópoulos
Musique de Mános Hadzidákis
Interprété par Andréas Karakótas
Piano : Dóra Bakopoúlou
Photographies : Michális Iliou
Dínos Christianópoulos est né en 1931 à Thessalonique. Poète, romancier, critique, il est très influencé par Constantin Caváfis et son œuvre se réfère ouvertement aux rencontres furtives et aux amours interdites, rencontres homosexuelles éphémères confrontées à l’humiliation et la solitude (Âge des vaches maigres, 1950). Malgré la reconnaissance de sa poésie, il a toujours refusé toute distinction honorifique, attitude dont il a fait une revendication absolue. « Il n’y a pas d’ambition plus vulgaire que de vouloir se distinguer », écrivait-il.
La génération des deux poètes fait que leurs thématiques s’inscrivent dans les amours interdites, et célèbrent le péché qui en est la saveur singulière. La société grecque qui n’a pas libéralisé de manière très visible les droits LGBTQ — c’est un euphémisme — reste porteuse d’une relation ambiguë vis-à-vis de l’homosexualité : on la reconnaît implicitement, mais on n’en parle pas. Elle reste du domaine des choses cachées. La Gay pride, que ce soit à Athènes ou à Thessalonique, les deux grandes villes de Grèce, reste très marginale.
Super montage. Merci pour le partage et j'en profite pour dire merci pour le blog dans son entier. David
RépondreSupprimerConosci questa chanson charmante chanté par Elviira de Hidalgo, maestra della DIVINA?
RépondreSupprimerΜπάρμπα Γιάννης κανατάς - Ελβίρα ντε Ιντάλγκο
https://youtu.be/B2Xv8Uj4j0Q
Bella, ma non capisco.
RépondreSupprimerneanche io, ma è molto bella!!! très charmant!
RépondreSupprimerse capisci l'italiano ascolta questo
RépondreSupprimerhttps://youtu.be/5pKsguqXS-U