* Oui, je sais que j'ai remis le prénom Victor à la mode.
Plus sérieusement, la photo est extraite de
Fiertés, l'indispensable film en trois volets de Philippe Faucon.
Voir mon billet de dimanche avé le lien qui permet de le voir fissa (jusqu'au 16 mai) ou d'acheter le DVD, ce qui est bien aussi.
Merci Silvano pour ce partage.
RépondreSupprimerLorsque je vois le mot "série", mon poil se dresse et je m'empresse de regarder quel programme peut être intéressant sur une autre chaîne, aussi j'avais raté ce chef d'oeuvre.
Beau film, presque un documentaire romancé. Tout y est, tous les thèmes sont abordés, sans jamais tomber dans le mélo-dramatique ni le pathétique. La vies, nos vies, tout simplement, en toute simplicité.
Ayant voté pour François Mitterrand à l'âge de 18 ans, je me suis retrouvé dans les protagonistes de cette série.
J'ai cru manquer de mouchoirs tellement j'ai souvent été ému aux larmes mais quand les larmes coulent, c'est gage de qualité.
Encore merci
Oui, Eric D. : c'est bien pour cela que je précise "film en trois volets".
RépondreSupprimerVotre émotion a été partagée par beaucoup d'entre nous.
Oui, film admirable. A voir absolument: tous les "problèmes" liés à l'homosexualité y sont. Le premier épisode (Victor jeune) surtout est poignant. Je n'ai pas pleuré, comme Eric, mais j'ai été très "remué"!
RépondreSupprimerPour le moment, je n'ai vu que le premier épisode. Pour avoir eu 18 ans en 1981 (je suis un contemporain de Victor), j'ai le souvenir qu'être et se découvrir homosexuel étaient sensiblement plus compliqués que l'apparente facilité avec laquelle le jeune Victor se vit homosexuel. Mais peut-être que ce n'est pas le propos de ce film, mais alors quel en est l'objectif ? Ce n'est tout de même pas pour nous dire qu'un improbable patron du bâtiment socialiste (j'imagine qu'il devait en exister en 1981) peut s'avérer perturber par l'homosexualité de son fils. Et qu'heureusement les mères sont là.
RépondreSupprimerCeci étant dit, j'ai eu du plaisir à voir Stanislas Nordey que je ne connaissais pas et les jeunes Benjamin Voisin et Sami Outalbali.
Jean-Marc
PS : je crois que c'est Sélim et non Sellim.
Jean-Marc : je ne sais plus si vous aviez lu mon immortel "Tombe, Victor !" Le narrateur ne semblait guère souffrir de la découverte de son homosexualité, l'action se déroulant vers 1968/69. Les "complications" proviennent de paramètres divers : milieu, situation géographique, entourage, famille, etc.
RépondreSupprimerPour les patrons, oh, vous savez, Pierre Bergé était "socialiste", c'est dire... Il est vrai qu'il était également "du bâtiment".
Voyez la suite, et dites-moi.
Jean-Marc : vous avez raison pour le beau Sélim, et j'ai rectifié. Merci.
RépondreSupprimerMalheureusement le video n'est pas visible chez moi (en Italie). Il faudra que j'achète le DVd (c'est bien aussi!). Merci et ciao ciao.
RépondreSupprimer