Naguère, nous avons eu aussi ce beau ventre plat, propice à une béance du slip, béance attirant quelques doigts sur une peau fine et soyeuse, puis quelques lèvres; puis un gonflement du coton, enflammant le désir, embrasant les ardeurs du sang, enlaçant les corps dans la fougue et la volupté, le coton au loin envolé.
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RépondreSupprimerNaguère, nous avons eu aussi ce beau ventre plat, propice à une béance du slip, béance attirant quelques doigts sur une peau fine et soyeuse, puis quelques lèvres; puis un gonflement du coton, enflammant le désir, embrasant les ardeurs du sang, enlaçant les corps dans la fougue et la volupté, le coton au loin envolé.
Commentaire très érotique de Jacques qui évite l'écueil du salace. Joli !
RépondreSupprimerChaud bouillant même !
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RépondreSupprimerDans l'internat catho où j'étais, chaud-bouillant c'était permanent.
Silvano, merci.
Bravo Jacques donc!
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