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| Photo Gerardo Vizmanos |
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A Lyon, on appelle cette position "du bugne à bugne"... ceusses qui sont de Lugdunum comprendront ! Bon 8 mai à tous !
RépondreSupprimerBien au sud de Lyon, enfant, j'attendais le mois de février pour me goinfrer de bugnes ; c'est devenu l'une de mes madeleines.
RépondreSupprimeron est en droit de se demander Silvano de quel type de bugnes vous aimiez à vous goinfrer car il semble bien que notre ami lyonnais en ait une acception que vous feignez d'ignorer. quant à l'allusion aux madeleines de la tante de Marcel Proust, je crains qu'elle n'aggrave votre cas. Décidément, ce blog devient torride (je ne m'en plains pas)
RépondreSupprimerOui, je connais les allusions grivoises de Bive... Prendre une bugne, c'est aussi prendre un coup. Et pas celui auquel vous pensez derechef, libidineux Ludovic !
RépondreSupprimerlibidineux ! comme vous y allez ! Savez vous qu'une prononciation transméditerranéenne de cette épithète pourrait vous exposer à devoir prouver, armes à la main, ce que vous avancez ?
RépondreSupprimerLudovic : et bien sûr que je le sais, coquinou !
RépondreSupprimerje m'insurge contre l'appréciation faite à mon intervention qui n'avait rien de trivial, voire d'obscène... Dans le "bugne à bugne" peut se glisser soit un échange d'affection mutuelle, soit une discussion plus énergique. Ne ma prêtez pas, s'il vous plaît les pensées 'douteuses" qui peuvent vous agiter les uns et les autres. Ceci dit en toute cordialité.
RépondreSupprimerBive vous avez bien raison de vous insurger. J'apprécie votre humour, croyez le bien.
RépondreSupprimerSan Silvano