lundi 20 mai 2019

Mourir à 61 ans : putain, Nilda, tu déconnes !



Je n'ai pas de mots pour dire ma tristesse.
Cette chanson est pour moi chanson d'amour et d'amitié.
Il y a aussi Madrid, Nos fiançailles...
Et un disque qui a tant et tant tourné et tourne encore sur la roue du souvenir.

1 commentaire:

  1. Je me souviens, il chantait à l'Olympia, fin des années 80 peut-être. Une jeune femme brune en robe rouge a quitté son fauteuil et l'a rejoint sur scène. Je me trouvais côté cour et je l'ai vue de profil, surgir de l'orchestre, si belle. J'étais très jeune et le cœur encore à vif, je les ai enviés, elle et lui, car je ne savais pas trop qui j'aimais alors, des garçons ou des filles, d'elle ou lui et c'est ce que je garde de Nilda Fernandez, l’ambiguïté. J'ai moi aussi beaucoup, beaucoup écouté ce disque.

    Pierre

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