Photo Silvano Mangana |
Retour dans un Paris bien gris ce matin, après trois jours de parenthèse enchantée au sud de la Bretagne dans une station balnéaire préservée miraculeusement du déferlement
des populations en migrations le temps du long weekend de l'Ascension.
Et ce, malgré un ciel en habits de fête et des températures estivales.
Balades, ballades (pianistiques), araignées (de mer) et autres délices océanes : jouissif.
On a envie de préserver pareille quiétude et de la garder pour soi - on comprend les gens du cru.
Bien sûr, les très belles plages de sable fin accueillent, en été, de nombreux vacanciers adeptes des bains de soleils et des sports nautiques, mais la qualité de vie préservée incite au respect ; contrairement à d'autres lieux bétonnés livrés, en ces périodes, aux margoulins vendeurs de fritures frelatées et de sandwiches américains décongelés.
Ici, rien de tout cela, sans aucun doute.
Pour combien de temps ?
On comprendra donc que je localise la photo ci-dessus comme étant prise depuis une table conviviale de la "Villa Margareth".
Seuls les initiés reconnaîtront*.
* J'oublie toujours que Google a rendu obsolètes tous les jeux de devinettes.
Raison pour laquelle se font rares, ici, les jeux-cinéma dont la solution doit plus, en général, au clicquage (oh, un néologisme !) qu'au savoir ou à la mémoire
délices océanes, je pense...
RépondreSupprimerXavier
Bien sûr Xavier : où avais-je le tête ?
RépondreSupprimerSilvano, pour les petits chicaneurs, le site de Larousse, maison vénérable, précise que : "La langue courante tend à garder le masculin au pluriel dans tous les cas".
RépondreSupprimerAlex, sauf pour amours, délices et orgues (quel beau programme), quand même, rassurez moi!
RépondreSupprimerMes gds parents sont à Lorient, je connais la Villa Margaret !
RépondreSupprimerSuper photo !