Pour une fois, inutile de préciser, non ? |
En cette période d'intense activité, c'est la lecture qui me manque le plus : de mes plaisirs, le plus solitaire sans doute. Le plus abouti aussi.
À moi seul bien des personnages, le fascinant roman de John Irving, m'attend chaque soir sur ma table de chevet, dont je n'arrive à poursuivre la fascinante lecture, terrassé par le sommeil - enfin ? - après tant de nuits d'insomnie.
J'attends les premiers jours de juillet pour combiner à nouveau, enfin, écriture et lecture.
Fantasme d Italie
RépondreSupprimerInutile en effet, cette fois c'est évident: il s'agit de jus d'orange !
RépondreSupprimer