Lors d'un séjour dans un hôtel napolitain,
j'avais noté avec amusement que
mon jeune compagnon de voyages
d'alors, s'était relevé pour refermer
une porte de penderie qui s'était
ouverte de manière intempestive.
Je l'aurais fait moi-même s'il n'en
avait pris l'initiative.
J'aime qu'au moment qui précède
l'entrée dans le monde des rêves, rien
de fâcheux, selon mes petites manies,
ne vienne encombrer mon champ de vision.
Mon cas n'a rien d'unique, apparemment.
Il faut toujours se méfier des placards, il s'y cache souvent des amants voire des maris.
RépondreSupprimerNon vous n'êtes pas le seul, tant
RépondreSupprimerce personnage irradiait le film...