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| Brad Downey, Rome 2015 |
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Mais non, il faut jeter des ponts et non élever des murs.
RépondreSupprimerCe n'est pas parce qu'on publie des pavés qu'il faut en faire n'importe quoi !
RépondreSupprimerPippo : euh, oui, si vous voulez.
RépondreSupprimerLudovic : :)
Et oserais-je rappeler cette illustration publiée le 31 mars 2018 par le blog Véhèmes où l'on voit le jeune Elio accoudé à sa fenêtre lors de l'arrivée d'Oliver ? La légende indiquait parfaitement la tonalité intellectuelle de Call me by your name : "Toi aussi fais comme Elio : sers-toi de tes bouquins pour caler ta fenêtre."
RépondreSupprimerOui, Pippo, dans un billet par ailleurs admirablement argumenté, Céléos, du feu Véhèmes, disait pourquoi il n'avait pas aimé le film. Ce qui avait donné lieu à une sacrée passe d'armes quelque peu stérile.
RépondreSupprimerVous avez bien fait d'oser, car le souvenir de ces joutes n'est pas aussi déplaisant que vous pourriez le penser.
Merci de votre approbation, cher Silvio, car j'avais été le maladroit qui avait déclenché l'ire injustifiée de Céléos.
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