Association de bienfaiteurs : la sublime mélodie et le texte de Gustav Mahler transportés jusqu'à nous par la voix de l'inoubliable Dietrich Fischer-Dieskau, et le Philharmonique de Vienne dirigé par Wilhelm Furtwängler, un sommet !
Le petit-fils du grand baryton fut mon voisin et je réalise, grâce à la photo qui illustre cette pièce, à quel point était flagrante la ressemblance.
Chaque fois que je passais devant sa boîte-à-lettres, je frémissais.
Je lui ai parlé une seule fois où il parvint à vaincre sa timidité pour évoquer ses études au Conservatoire National de Musique de Paris où il perfectionnait son art du violon.
La chambre de bonne où il vivait, un étage au-dessus du mien, était quasiment insalubre, comme je pus le découvrir après son départ.
* Dans le texte de ce lied s'exprime le chagrin d'un amoureux délaissé par son aimée dont on célèbre joyeusement, au même instant, le mariage avec un autre homme.
Le blogueur est consciencieux, en conviendrez-vous ? |
Je n'ai pas trouvé de CD spécifique : je pense qu'il se niche dans l'un des nombreux coffrets que l'on a édités du prestigieux chanteur.
C'est une musique idéale pour rêvasser. |
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