Rassemblement pro-"sardines" à Florence le 30 novembre dernier |
Évincé du pouvoir, Salvini, encouragé par de "bons" sondages et son score impressionnant lors des récentes élections régionales en Ombrie, piaffe de repartir à l'assaut de celui-ci.
Tout allait pour le mieux pour le chef de la "Ligue" jusqu'à l'arrivée de sardines assez grosses pour boucher l'horizon politique du facho-populiste.
Si vous aviez le regard uniquement rivé sur l'actualité franco-française ces jours derniers, vous pouvez vous faire une idée de ce que représente, en terme d'espoir, le mouvement des sardines entraîné par le jeune Mattia Santori (32 ans) en lisant cet article du Monde : clic
Photos Filippo Monteforte/ AFP |
Ensemble. Sans bruit. ¡No pasarán!
RépondreSupprimerMerci pour cet article et pour le lien.
Si vous le permettez, j'ai lu votre livre, il est délicatement écrit et m'a beaucoup touchée. Un grand plaisir.
Floriane
Allons à Messine...
RépondreSupprimerMerci à vous, Floriane. Infiniment.
RépondreSupprimerdans ce cas (aussi), l'Italie dépasse la France dans la civilisation politique! Nous n'avons pas les gilets jaunes = casseurs.
RépondreSupprimerCe n'est pas faux, Xersex !
RépondreSupprimerPour ceux qui ne connaîtraient pas la chanson, permettez-moi, Ludovic, de compléter votre citation :
RépondreSupprimer"Allons à Messine
Pêcher la sardine"
Oui, Silvano, ce mouvement des "sardine" est un motif d'espoir.
Mais pourquoi ont-ils choisi de s'appeler les "sardine" ? Merci d'éclairer ma lanterne.
Renato
Renato : c'est expliqué dans l'article du Monde vers lequel j'ai mis un lien dans ce billet.
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