dimanche 19 janvier 2020
Cadeau : non pas un, mais deux trésors !
Un texte pour souligner le sublime ?
Inutile. Et c'est du live, coco !
Vous m'êtes sympathique,
alors, en cadeau bonus, et toujours
extrait des Années de pèlerinage de
ce cher Liszt, voici, de Vallée d'Obermann,
l'interprétation de Claudio Arrau.
Historique, incontournable, et...
impitoyable (pour la plupart de ses confrères et sœurs) :
5 commentaires:
Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux "sociaux" où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires "ronchons" ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !
donc deux merci
RépondreSupprimerCulte, poétique et sensible ! Du bonheur. Ah, Arrau, on ne s'en lasse jamais. Quelle légèreté, quelle grâce, dans ces "Jeux d'eau"… ! Quand on observe attentivement les mains d'Arrau, larges et fortes, on est fasciné par ce toucher subtile. On a l'impression qu'il dominait physiquement le clavier et ici on entend de l'eau qui coule, et non des notes aigres. Lazar Berman n'est pas mal non plus… sans doute plus sombre. Merci en tout cas pour ce beau rappel, Silvano.
RépondreSupprimerMais la relève est prometteuse : les quelques pages gravées par Cédric Tiberghien sont bien belles. Et puis ce pianiste est charmant, n'est-ce pas ? :-))
Merci !
RépondreSupprimerFloriane
Merci pour les merci !
RépondreSupprimer"pierre" : très bien pour Tiberghien, mais, dans ce répertoire, écoutez donc Chamayou (son coffret Liszt est remarquable) ou même Volodos. Mais aucun n'égale Arrau.
Je vais écouter Chamayou! Je ne l'ai pas encore fait. Merci du conseil, Silvano.
RépondreSupprimerBonne soirée;