Les adeptes de la chasse à l'homme dans le jardin des Tuileries seront déçus.
J'y ai passé l'après-midi, hier : pas âme qui vive !
La vie parisienne gay, c'est plus ce que c'était.
mardi 31 mars 2020
Tuile
Les adeptes de la chasse à l'homme dans le jardin des Tuileries seront déçus.
J'y ai passé l'après-midi, hier : pas âme qui vive !
La vie parisienne gay, c'est plus ce que c'était.
5 commentaires:
Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux "sociaux" où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires "ronchons" ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !
Je crois que cela fait quelques décennies que les Tuileries ne sont plus un terrain de chasse. Comme la plupart des jardins parisiens.
RépondreSupprimerFlorestan
La vraie question est : comment avez-vous pu passer l'après midi aux Tuileries, alors que l'on nous accorde une heure seulement hors de chez soi pour prendre l'air ? Seriez-vous un rebelle ??
RépondreSupprimerFlorestan
Il fallait que quelqu'un tombe dans le panneau.
RépondreSupprimerJe n'ai plus mis les pieds aux Tuileries depuis 1946 : j'y fêtai alors la repousse de ma chevelure tondue à la libération.
Moi, c'était en novembre 1918 et c'était la moustache que je m'étais rasée. Tout ça ne nous rajeunit pas !
RépondreSupprimerCette terrasse, bien déserte hélas, propose un trio en bronze de Paul Landowski des fils de Caïn dont l'un est un éphèbe bien sous tous rapports. Il y a peu l'ensemble était démonté. Par crainte du coronavirus ?
RépondreSupprimerJBBD