dimanche 19 avril 2020

Cadeau : deux Pogo sinon rien !



Qu'il est grand, encore aujourd'hui, notre cher Ivo Pogorelich, enregistré ci-dessus au Japon en 1983 dans un bis où Scarlatti se pare d'une couleur toute printanière.
Un peu plus loin, ci-dessous, un aérien Capriccio de Brahms capté au cours de la même tournée triomphale
Qu'il fut beau, notre "Pogo", tel que nous l'offre cette photo de Malcolm Crowthers de 1981 : c'était avant-hier, c'est éternel.
Comme son immense talent.


1 commentaire:

  1. L'un des plus grands. Concert parisien évidemment annulé. Merci pour votre choix. Merci d'être là, tout simplement.

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