Il faudrait prévenir ce garçon que son partenaire est parti se promener. Oui, je sais Silvano: chez le directeur ! Je vais encore avoir le fouet ( jadis on donnait les verges mais il ne faut pas rêver)
Ah mais c'est vrai qu'elles sont crades ses chaussettes, quelle horreur, je n'avais pas fait attention ! Mais si je lui avais coupé les pieds, ce billet n'avait plus de sens.
La saleté n'enlève rien au charme. Regardez le saint Jean Baptiste du Caravage (musée de Kansas City). Il a un orteil rempli de crasse qui ne nuit en rien. Il nous apprend que ses modèles venaient du peuple de la rue.
Bonjour. Une petite précision anodine : ces chaussettes apparemment sales sont en fait des chaussettes chaussons très pratiques dans les régions où l'hiver est rude. On en utilise beaucoup à New York à la place des "charentaises", le fond intérieur de la chaussette est couvert d'une semelle de feutre. et comme cela on porte à la fois chaussette et chausson d'intérieur. A force de les user - et de glisser - sur le sol de l'appartement, on les salit ! il est vrai qu'elles passent à la machine mais c'est un calvaire de les faire sécher... Voilà un commentaire un peu pontifiant, pardonnez-moi ! Je vais me remettre à mes mémoires impériales. Hadrien
Merci Hadrien pour cette mise au point essentielle. Le sujet agitait la toile depuis la publication de cette photographie à haute teneur polémique. Mais le débat ne fait que commencer : si quelqu'un veut contre-argumenter... ça l'occupera.
Hadrianus, votre connaissance des mœurs outre atlantiques m’épate sans m’ébranler. Je reste convaincu que l’ami que ce jeune homme, américain ou non, s’apprêtait à honorer a été incommodé par les effluves dégagés par ces charentaises d’un style nouveau et qu’il est allé rechercher ailleurs ce qu’il attendait. La morale de cette histoire est que le vigoureux jeune homme non content d’avoir des chaussettes sales risque de salir le tapis en pure perte. Veuillez transmettre mon bon souvenir à Antinoüs. Merci!
Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux "sociaux" où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires "ronchons" ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !
Ah, les chaussettes, quelle classe !
RépondreSupprimerIl faudrait prévenir ce garçon que son partenaire est parti se promener.
RépondreSupprimerOui, je sais Silvano: chez le directeur ! Je vais encore avoir le fouet ( jadis on donnait les verges mais il ne faut pas rêver)
Il faudra aussi lui dire de laver ses chaussettes !
RépondreSupprimerAh mais c'est vrai qu'elles sont crades ses chaussettes, quelle horreur, je n'avais pas fait attention ! Mais si je lui avais coupé les pieds, ce billet n'avait plus de sens.
RépondreSupprimer@Ludovic : ah ah !
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RépondreSupprimerLa saleté n'enlève rien au charme.
Regardez le saint Jean Baptiste du Caravage (musée de Kansas City).
Il a un orteil rempli de crasse qui ne nuit en rien. Il nous apprend que ses modèles venaient du peuple de la rue.
RépondreSupprimerMon commentaire précédent concerne le contact des images et non le contact physique.GC ne propose rien d'autre.
Bonjour. Une petite précision anodine : ces chaussettes apparemment sales sont en fait des chaussettes chaussons très pratiques dans les régions où l'hiver est rude. On en utilise beaucoup à New York à la place des "charentaises", le fond intérieur de la chaussette est couvert d'une semelle de feutre. et comme cela on porte à la fois chaussette et chausson d'intérieur. A force de les user - et de glisser - sur le sol de l'appartement, on les salit ! il est vrai qu'elles passent à la machine mais c'est un calvaire de les faire sécher... Voilà un commentaire un peu pontifiant, pardonnez-moi ! Je vais me remettre à mes mémoires impériales.
RépondreSupprimerHadrien
Merci Hadrien pour cette mise au point essentielle. Le sujet agitait la toile depuis la publication de cette photographie à haute teneur polémique. Mais le débat ne fait que commencer : si quelqu'un veut contre-argumenter... ça l'occupera.
RépondreSupprimerHadrianus, votre connaissance des mœurs outre atlantiques m’épate sans m’ébranler. Je reste convaincu que l’ami que ce jeune homme, américain ou non, s’apprêtait à honorer a été incommodé par les effluves dégagés par ces charentaises d’un style nouveau et qu’il est allé rechercher ailleurs ce qu’il attendait. La morale de cette histoire est que le vigoureux jeune homme non content d’avoir des chaussettes sales risque de salir le tapis en pure perte.
RépondreSupprimerVeuillez transmettre mon bon souvenir à Antinoüs. Merci!