samedi 25 juillet 2020

Hymne



Une succession de cartes postales, certes. Mais vous pouvez aussi écouter les yeux clos.

En France chez Gallimard. La couverture italienne est plus belle.
Je ne sais pourquoi cette chanson me bouleverse à ce point.
La sincérité, peut-être.
Attablé avec un ami l'autre midi à la terrasse d'une pizzeria, nous fûmes servis par un très beau garçon qui se révéla être napolitain.
Le fait d'évoquer cette chanson firent s'éclairer ses yeux et naître un sourire de gratitude sous le masque.
La chanson de Pino Daniele, devenu icône depuis sa disparition, est à présent une sorte d'hymne national pour les autochtones.
Je m'étais fait un copain.
J'y retournerai.
Par coïncidence, j'avais acheté le même jour le nouveau roman d'Elena Ferrante La vie mensongère des adultes.
Hormis que le titre en est alléchant, les premières pages sont à la hauteur des œuvres précédentes de l'auteur(e)-fantôme.




2 commentaires:

  1. Le roman d'Elena Ferrante est effectivement très prenant : je n'ai pu l'abandonner, le lisant d'une traite. Et Naples, n'est-ce pas ?

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