Avant la pandémie, un jeune homme de mon cercle, alors en fac, me disait qu'il avait appris que certains étudiants, pour joindre les deux bouts (!), se livraient à la prostitution de toute nature, homo, bi ou hétérosexuelle.
Ont-ils tous renoncé aujourd'hui, ou ont-ils recours au télétravail ? Bénéficient-ils du chômage partiel ?
samedi 7 novembre 2020
Garçon de joie : une profession en péril ?
2 commentaires:
Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux "sociaux" où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires "ronchons" ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !
Pourquoi ce type de prostitution est-il plus excitant ?
RépondreSupprimerPippo : pouvez-vous préciser ? Faites-vous référence à la photo ? Le billet en lui-même est un constat que je clos par un peu d'humour.
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