Bist du bei mir, geh ich mit Freuden zum Sterben und zu meiner Ruh. Ach, wie vergnügt wär so mein Ende, es drückten deine schönen Hände mir die getreuen Augen zu!
Si tu es avec moi, j’irai joyeux
Vers ma mort et mon repos.
Ah ! Comme elle serait heureuse, ma fin,
Si tes belles mains fermaient mes yeux fidèles !
(Extrait)
J'avais découvert ce très beau chant composé par G.H. Stötzel (et non par Bach lui-même) dans ce Petit livre d'Anna-Magdelana Bach que connaissent bien les apprentis-pianistes.
Il est ici magnifié par Andreas Scholl.
C'est bref, c'est beau : ça dissipe les nuages en pleurs de ce dimanche de février.
Oui! Magnifique chant d'amour. Et Andreas Scholl toujours égal à lui-même.
RépondreSupprimerMerci, c'est sublime !
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