J'avais rencontré Gauthier Capuçon à Turin en 2018.
S'il se compromet parfois dans des démonstrations médiatiques destinées, pense-t-il vraisemblablement - à "vulgariser" (le terme peut s'interpréter de diverses manières) son art, il n'en demeure pas moins un violoncelliste d'exception, aimable et bienveillant.
S'il se compromet parfois dans des démonstrations médiatiques destinées, pense-t-il vraisemblablement - à "vulgariser" (le terme peut s'interpréter de diverses manières) son art, il n'en demeure pas moins un violoncelliste d'exception, aimable et bienveillant.
Ici, dans cette fameuse Vocalise de Rachmaninov, idéale pour entrer sereinement dans ce froid dimanche, il est accompagné par Nikolaï Luganski, autre "pointure" de la musique : un pianiste sensible qui n'a jamais déçu, un artiste qui se met avec humilité au service des grands compositeurs.
C'est un bonheur de ressentir la complicité qui unit ces deux interprètes dans cette oeuvre tant galvaudée, qu'ils restituent avec un absolu respect d'une partition qui n'a nul besoin des fioritures entendu ici et là.
Ma version préférée pour piano-solo de cette pièce célèbre demeure celle du grand Emil Gilels.
C'est un bonheur de ressentir la complicité qui unit ces deux interprètes dans cette oeuvre tant galvaudée, qu'ils restituent avec un absolu respect d'une partition qui n'a nul besoin des fioritures entendu ici et là.
Ma version préférée pour piano-solo de cette pièce célèbre demeure celle du grand Emil Gilels.
J'aime beaucoup ce "tube". Vous avez fait un excellent choix, comme toujours.
RépondreSupprimerPour l'avoir entendu à Pleyel où il interprétait des œuvres moins faciles son talent était éblouissant.
RépondreSupprimerJbbd