Nelson Freire joue ici la version pour le Prélude des Bachianas Brasileiras nº 4 de son compatriote Heitor Villa-Lobos. Le grand pianiste brésilien, fougueux et sensible à la fois, est mort à Rio de Janeiro le lundi 1er novembre dernier. Une amitié sans faille l'unissait à sa consœur Martha Argerich. Nous sommes en deuil.
Nelson Freire et Martha Argerich à l'issue d'un récital commun |
Je suis content de trouver ici l'hommage à Nelson Freire. Oui, sa mort m'a rendu triste e je l'écoute à cet moment où je profite de la beauté des hommes (et des garçons) que vous nous offrez, Silvano.
RépondreSupprimerCes deux genres de grâce se touchent, bien sûr, et communiquent que la vie n'a aucun sens sans nos efforts pour la rendre plus belle.
Merci!
Merci de partager! Merci ...Merci!!!! Merci beaucoup!
RépondreSupprimerJe constate que vos lecteurs brésiliens sont très touchés par ce billet. Comme je le suis solidairement, mais aussi en mélomane affligé.
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