Au Festival de San Remo en 1969 |
Tout d'abord à l'origine, avec son co-auteur Mogol, de "tubes" interprétés par les grands de la chanson italienne (Mina et Adriano Celentano notamment), il enregistra vingt-deux albums dont certains considérés par d'aucuns comme historiques.
Celui-ci, singulièrement, intitulé La batteria, il contrabasso eccetera comporte le titre Ancora tu, qui fit le bonheur des danseurs en discothèques, ignorant la poésie du texte, à la fin des années soixante-dix.
La chanson Respirando, là-haut, détonne dans l'ensemble, composée et orchestrée dans un esprit "latino".
Pour l'anecdote, on sera surpris d'apprendre que la chanson fit l'objet d'une maquette (en italien) du chanteur Claude François peu avant sa mort accidentelle. On ne saura jamais si l'idole des minettes avait l'intention d'infléchir son répertoire dans une direction plus exigeante.
Battisti mourut à l'âge de 55 ans.
Au cours des "années de plomb", contrairement à d'autres, comme l'immense Celentano, il ne s'engagea jamais politiquement.
Ce qui le fit qualifier de "fasciste" par certains, jugement sans doute sans fondement.
Demeurent de lui quelques-unes des plus belles chansons de l'histoire de la "variété" italienne.
On peut prendre connaissance de la fiche Wikipédia, qui ne comporte pas d'erreur majeure, ce qui n'est pas toujours le cas : clic
Un bel article lui a été consacré en 2018 par Libération, que l'on peut lire ici : clic
Celui-ci, singulièrement, intitulé La batteria, il contrabasso eccetera comporte le titre Ancora tu, qui fit le bonheur des danseurs en discothèques, ignorant la poésie du texte, à la fin des années soixante-dix.
La chanson Respirando, là-haut, détonne dans l'ensemble, composée et orchestrée dans un esprit "latino".
Pour l'anecdote, on sera surpris d'apprendre que la chanson fit l'objet d'une maquette (en italien) du chanteur Claude François peu avant sa mort accidentelle. On ne saura jamais si l'idole des minettes avait l'intention d'infléchir son répertoire dans une direction plus exigeante.
Battisti mourut à l'âge de 55 ans.
Au cours des "années de plomb", contrairement à d'autres, comme l'immense Celentano, il ne s'engagea jamais politiquement.
Ce qui le fit qualifier de "fasciste" par certains, jugement sans doute sans fondement.
Demeurent de lui quelques-unes des plus belles chansons de l'histoire de la "variété" italienne.
On peut prendre connaissance de la fiche Wikipédia, qui ne comporte pas d'erreur majeure, ce qui n'est pas toujours le cas : clic
Un bel article lui a été consacré en 2018 par Libération, que l'on peut lire ici : clic
Stupendo ! Meraviglioso !
RépondreSupprimerJ'ai tout bon ?